Chercheur/chercheuse postdoctoral(e) en prédiction de résultats en santé mentale fondée sur des données
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L’Institut de recherche en santé mentale (IRSM) de l’Université d’Ottawa au Royal offre un poste passionnant de chercheur/chercheuse postdoctoral(e) pour mener des recherches de pointe recoupant la psychiatrie, l’apprentissage automatique et la prédiction de résultats en matière de santé mentale.
Nous recherchons un(e) candidat(e) possédant de solides compétences informatiques, notamment en bioinformatique et en apprentissage automatique, pour participer à l’analyse d’ensembles de données épigénomiques dans les domaines du trouble de stress post-traumatique (TSPT), de la dépression post-partum et de la psychose post-partum. Les projets comprendront l’analyse bioinformatique d’ensembles de données et la génération d’algorithmes de prédiction de résultats importants pour les soins cliniques. Un deuxième projet consistera à contribuer à une initiative d’application de la recherche visant à mettre en œuvre un nouveau modèle fondé sur les dossiers médicaux électroniques pour la prédiction des comportements liés au suicide. Le/la candidat(e) retenu(e) aura une vaste expérience du codage avec le logiciel R ou avec Python, de préférence les deux. Une expérience dans la conception de logiciels sera considérée comme un atout. Le/la candidat(e) retenu(e) aura accès à d’excellentes ressources informatiques et aura l’occasion d’examiner une série de questions de recherche à l’aide de données multimodales. La personne sélectionnée aura l’occasion de travailler avec des psychologues, des psychiatres, des physiciens ainsi que des neuroscientifiques spécialisés en recherches fondamentales et cliniques et ayant une expertise en stimulation magnétique transcrânienne (SMT), en imagerie par résonance magnétique (IRM), en tomographie par émission de positrons (TEP) et en électroencéphalographie (EEG), entre autres.
L’Institut de recherche en santé mentale (IRSM) du Royal est l’un des principaux instituts de recherche canadiens axés sur la santé mentale et emploie plus de 70 chercheurs. Nous offrons un environnement de recherche largement axé sur la collaboration entre les chercheurs et les cliniciens.
Vous travaillerez sous la direction du Dr Zachary Kaminsky, titulaire de la Chaire de recherche DIFD et Mach-Gaensslen sur la prévention du suicide, dont les travaux se concentrent sur l’exploitation de multiples sources de données, y compris les données épigénomiques, les données provenant des réseaux sociaux et les données des dossiers de santé électroniques, afin de créer de nouveaux outils pour mettre en œuvre des changements positifs en matière de résultats de santé mentale cliniquement pertinents.
Ce poste est entièrement financé et offre un salaire concurrentiel. Le financement est disponible pour une période de deux ans, avec la possibilité d’une prolongation. La date d’entrée en poste prévue est le printemps/l’été 2025. Il convient de noter que ce poste est financé dans le cadre d’un contrat de sous-traitance attribué à l’IRSM par une entité commerciale extérieure au monde universitaire et que, de ce fait, certaines analyses peuvent relever du domaine de la propriété intellectuelle de cette entité.
Les candidatures doivent comprendre :
Les candidatures doivent être envoyées par courriel à : Zachary.Kaminsky@theroyal.ca. Toutes les candidatures seront prises en considération jusqu’à ce que le poste soit pourvu.
Merci beaucoup de l’intérêt que vous portez à travailler avec nous au Royal. Le Royal s’efforce d’être un employeur équitable et inclusif. Notre résolution à assurer l’équité en matière d’emploi est fondée sur un engagement qui vise à créer un milieu de travail, d’enseignement et d’apprentissage exempt de discrimination et de harcèlement, à l’échelle de l’organisation. Conformément à notre engagement en matière d’équité, de diversité et d’inclusion, nous encourageons les personnes de divers milieux et cultures à postuler à nos offres d’emploi. Nous encourageons activement les candidatures de membres de groupes ayant des obstacles historiques ou actuels à l’équité en matière d’emploi, y compris, mais sans s’y limiter : les Premières nations, les Métis et les Inuits, ainsi que tout autre peuple autochtone; les membres de groupes qui subissent généralement une discrimination en raison de leur race, de leur ascendance, de leur couleur, de leur religion ou de leurs croyances spirituelles, ou de leurs origines; les personnes handicapées; les personnes qui s’identifient comme des femmes; et les personnes ayant une orientation sexuelle, une identité de genre ou une expression de genre marginalisées.