Nous avons demandé à des étudiants chercheurs du Royal de partager leurs propres conseils d’autosoins. Voici ce qu’ils nous ont dit :
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Ana Santos
Domaine de recherche
Je m’intéresse à la façon dont les changements de microbes intestinaux peuvent affecter notre cerveau et notre santé mentale. Mes recherches portent sur différents facteurs qui influencent cette relation, comme l’alimentation et le stress au début de la vie, tant chez les personnes en bonne santé que chez les personnes atteintes d’un trouble anxieux généralisé ou de dépression.
Conseil
L’intégration de nombreux types d’autosoins dans ma vie me permet de contrôler mon rétablissement, puisque je suis étudiante en santé mentale tout en vivant moi-même avec une maladie mentale. Le fait de tenir les promesses que je me fais et d’avoir de la compassion pour moi-même quand je ne peux pas les tenir m'aide à garder les pieds sur terre. Par exemple, je me suis engagée à prendre des suppléments alimentaires, à faire des activités physiques, à méditer chaque jour, à tenir un journal intime et à me rendre à mon cercle de respiration, même si je suis très occupée. Il est aussi très important pour moi d’avoir un contact avec mon environnement, que ce soit en me promenant dans la nature, en mangeant des légumes cultivés dans mon jardin ou en passant du temps avec mes amis et ma famille.
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Eliza Ali
Domaine de recherche
Je suis en train d’élaborer un modèle pour comprendre en quoi le stress émotionnel diffère des facteurs de stress physique traditionnels. L’objectif est de donner un aperçu de la façon dont le stress émotionnel modifie les comportements caractéristiques de l’anxiété et les zones du cerveau qui y sont associées.
Conseil
J’aime prendre le temps de profiter des activités que je pratiquais quand j’étais petite, comme le bricolage et l’artisanat, les sorties dans la nature et la lecture. Cela m’aide à rester créative et à être à mon meilleur, tant pour moi-même que pour mes proches.
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Rami Hamati
Domaine de recherche
Je m’intéresse à l’étude des effets des médicaments sur le cerveau et à la façon dont nous pouvons prédire si quelqu’un se rétablira après avoir reçu certains médicaments. J’étudie aussi la façon dont différentes parties du cerveau et substances neurochimiques contribuent au développement de la schizophrénie.
Conseil
Après une longue journée de travail, j’aime faire de l’exercice, par exemple de la course à pied ou de la musculation. Le fait d’être actif m’aide à me remettre en forme et à me préparer pour le lendemain!